Nihya Takana

.) What will never change :


Nom : Takana
Prénom : Nihya
Surnom : Ni'
Age : 18 ans
Métier : //


.) Why I'm so special :


Caractère :
Ni' est une personne brute, violente et sans pitié. Oui je me permets de le dire vu que c'est la vérité, mais cependant, si vous ne la cherchez, vous ne la verrez pas. Au premier abord, elle s'averre gentille et sociable, mais une fois un labse de temps très court passé, elle s'averre être violene et assez froide. Une apparance d'ange cache un être cruel, qui évite de parlez aux autres, solitaire et silencieuse, elle ne viendera pas vous parlez sauf dans ses jours d'extremment bontée, où là, elle s'averre être un ange. Déconneuse, elle fera les quatres cents coups, risque à mourir, elle ne peut pas tenir en place, bougeant sans fin, elle est agile dût à sa petite taille, et à sa maigreur... Mais passons, contrairement à ce que l'on pense, elle s'attache facilement, restant fidèle, bien qu'il lui arrive de faire des écarts - ce qui est rare je vous rassure- Attentif, elle fera attention à chaque mimique des gens, à chaque expression. Si vous apprenez à la connaître, vous vous renderez compte qu'elle et fort sympathique, bien que froide et cruelle. d'ailleur, même si elle vous aime bien, elle ne pourra pas s'empêcher de vous frappez ou de vous faire souffrir.
Histoire :

# Prologue:

- Qui aurez cru que je vienderai ici...
- Oui, mais c'est obligé. Parle moi donc de toi.
- Moi toujours moi, vous n'avez que ce mot à la bouche ou quoi? J'en ai rien à foutre de moi, mais vous vous êtes tous intoxiquez par moi: Nihya Takana. J'ai quoi d'exeptionnel bordel?
- Calme toi Nihya, on veut juste ton bien.
- La ferme! Je m'en fiche de mon bien!
- Bien, tant ce qu'à je te propose quelque chose, pour calmer ta "violence"... Pendant un certains temps, tu écriras dans un journal intime, cela t'aidera pour te calmer. D'autant plus, tu marquera tes souvenirs, et à la fin de ce labse de temps, tu me le donneras.
- Il ne sera plus intime alors.
- Oui mais vu que tu ne veux pas parler...
- Bon ok.

# La jeune femme se leva, sans un mot de plus, tournant le dos au psychiatre, elle s'avançait dans ce long couloir, sa tête tournant lentement, alors qu'une rage bouillonait en elle. Son corps s'immobilisa, alors qu'elle se positionnait près du mur le temps que sa douleur passe. Ce qui arriva bien vite. Nihya se remit donc en route, les mains dans les poches, trainant des pieds, une envie sauvage en elle, mais après tout, n'était elle pas une sauvage de nature? Un poison long qui s'écoulait dans ses veines: Sa vie... Bien vite, elle était hors de ce lieu clos, ayant besoin d'air frais. Le vent vient caresser ses bras si fins, emportant lentement ses cheveux dans une danse des plus sauvages. Un sentiment de liberté l'envahit alors, elle était à présent libre, sans contrainte, la rage s'apaisant silencieusement, lui laissant croire qu'elle était toujours présente, ce qui est le cas, la rage se rendormait, attendant un autre moment pour se rêveiller et laisser le pouvoir violent s'échapper. Bref, passons, la jeune femme s'arrêta au passage pieton, comme toute bonne personne qui se respecte. Quand aucune voiture ne passa, elle s'avança, sans un merci au voiture qui s'était stopper devant la jeune Takana.
Un magasin plus loin attira son attention, plusieurs journal intime se retrouvant dans la vitrine, les paroles du psy' lui revinrent en mémoire, et finalement, elle se décida à pénétrer dans ce lieu qu'elle détestait tant. Des enfants, agées d'au moins 8 ans, faisaient la queue, un journal intime d'un rose flashis dans les mains, par moment on appercevait des petits dessins dessus, mais rien qui ne plaisait à la jeune femme. Elle se décida donc à poser son attention sur les étagères, découvrant des agendas de différentes couleurs, mais rien ne plaisant à Nihya. Oui, cette jeune petite brune était assez capricieuse... Bref, passons. Ses yeux marrons se posant sur un journal d'un noir sombre avec une tête de mort. Un fin sourire apparut sur ses lèvres, alors que ses mains attrapèrent le journal, la file d'attente c'était agrandit, et bien qu'elle avait tout le temps qu'elle voulait, elle se permit de doubler les petites filles, se retrouvant bien vite à la caisse. Mais bon, apparamment la femme avait vu les mouvements de Ni', et elle lui demandait d'un ton agacé de bien se replacer à la suite de la file. Mais la jeune brune avait décidé autrement, et mieux valait ne pas la contredire, on ne sait ce qui peut se produire...
Finalement, Ni' réeussit à payer et s'en alla en faisant claquer la porte en bois derrière elle, ce qui pour effet de faire sursauter tout les gens présents dans le magasin, mais passons, cela n'est pas bien important. Elle fit donc le trajet jusque chez elle, savant pertinament que ses parents lui crieraient dessus comme des tarés, juste parce qu'elle avait dépensé de l'argent, et allons leur expliquez quelque chose quand ils ont une idée fixe de ce que l'on fait... Sa main se glissa dans sa sacoche, trouvant ses clées reconnaissable entre tous avec la tête de mort d'un rose flashis, et une autre d'un bleu sombre. Elle grimpa lentement les marches anciennes qui grinçaient sous son faible poids. Le numero 23 apparut bientôt devant elle, alors que son tic se produisait encore: Elle se mordit la lèvre, faisant une légère plaie sur sa lèvre si douce et si rosâtre. Le sang se mit à couler le long de son menton, le liquide rougeâtre apparaissant sur sa peau si blanche. Sa main si mis à trembler alors qu'elle savait que la sentance tomberait, mais finalement, elle fit pénétrer la clée dans la serrure, la tournant et laissant un clic se faire entendre.
D'un geste lent et hesitant, elle poussa la porte, le coeur lourd d'un coup. Finalement, elle pénétra dans le petit appartement, refermant derrière elle, ses clées dans sa main. Deux visages se posèrent sur elle, deux visages lourds et peu sympathique il faut l'avouer. Un jeune homme surgit d'une salle, suivit de près par un démon ambulant qui se jeta dans les bras de la jeune Ni' qui l'acceuilla avec un fin sourire avant de le prendre dans ses bras, ses mains rangerent le journal dans sa bandouilière, avant qu'elle ne passe devant ses parents dans un mot, sans un regard. Elle s'arrêta devant une pièce en permanance occupé par sa petite soeur, toujours en train de se maquiller et de trouver des tenues des plus tendances, a vrai dire, c'était la petite chérie des parents, et elle avait le droit de faire tout ce qu'elle voulait, et attention à la personne qui osait pénétrer dans son lieu sacré alors qu'elle était occupé. Mais ce n'est pas Ni' qui allait faire attention à cela, elle rentra dans la salle, chopant le bac de linge sale, elle le posa près d'une commode, mettant le linge qui était sur le sol dans le bac avant de partir avec, sous les cris de désaccord de sa petite soeur.
Elle continua tout droit, tenant son petit frère dans un de ses bras, tenant de l'autre le bac. Elle passa devant la chambre des garçons, toujours en bazard, cela ne changerait pas. Puis elle passa devant sa chambre qu'elle partageait avec sa soeur et le chien. Son côté était d'un sombre assez inquiétant, alors que le côté de sa soeur begnait dans le rose, les murs recouverts de poster de star. Rien qu'en voyant cela, ses yeux se levèrent, elle continua sa route, rentrant dans la chambre de ses parents, posant le bac, elle mit une machine en route, et oui, la machine à laver se trouver dans la chambre des parents... Mais passons, elle laissa le bac, comme à son habitude, vu qu'il restait encore la moitié à mettre, puis elle tourna sur ses talons. Se retrouvant nez à nez contre son grand frère, d'un an son ainé seulement mais bon. Elle plongea son regard marron dans les yeux argentés d'Akira.
Elle le poussa, le faisant décaler avant de se diriger dans sa chambre, alors que sa peste de soeur passait avant elle, manquant de lui rentrer dedans. Ni' leva les yeux aux ciel, plus que tout au monde, elle détestait Li Mei, cette être qui se croyait la plus belle... Bref, passons. Elle rentra dans la chambre, le chien se trouvant allonger sur son lit, comme d'habitude. La jeune brune posa son petit frère, avant de s'allonger sur son lit, faisant légèrement bouger le chien qui râla avant de poser sa tête entre ses deux pattes. Elle posa sa bandouilière prêt d'elle, se decidant à sortir le journal intime, à peine eut-elle pris le petit manuscrit dans ses mains, que la jeune Li lui avait voler le précieux journal, allant le montrer aux parents, ce qui eut le don de provoquer une rage profonde en elle. Elle se leva, lui attrapant le bras qui tenait le journal, mais c'était trop tard, ses parents tenaient le manuscrit dans leurs mains, tapotant la table de leurs doigts, un sourcil levé pour le père, les sourcils froncés pour la mère.
Elle tenait toujours sa soeur, ne serrant nullement, alors que sa soeur se mit à geindre, souffrant d'une douleur soudaine, d'une douleur violente. Ni' la lâcha soudainement, comprenant ce qui se passait, essayant de se calmer, mais devant la mine de ses parents, la rage ne fit qu'accroître. Un mal de tête vient faire son apparition, posant alors sa main sur son front, sa vue commençant à se brouiller, alors qu'un cri retentit, ses jambes la lachèrent, se retrouvant allonger sur le sol, tremblant, alors que toute sa petite famille s'agitait, cherchant quelque chose, des cris de panique retentit, alors qu'on lui ouvrit la bouche, lui administrant un medicament sec... Ses yeux se fermèrent en silence. Puis plus rien, le trou noir...
Un rêveil fort douloureux, un mal de tête violent, comme si on lui avait donner un coup. Ses paupières se soulevèrent doucement. Eblouis par la lumière présente, la jeune Tanaka cligna des yeux, avant d'apercevoir sa famille entrain de dormir autour d'elle, elle chercha dans ses souvenirs, avant de se rendre compte de ce qu'il s'était passé. Sans un mot, elle se leva, avant d'aller dans la cuisine, appercevant le journal noir sur le sol. Elle s'abaissa, l'effleurant du bout des doigts avant de l'attraper et de s'eclypser dans le couloir sans un mot, s'asseyant sur les marches. Elle se mit à écrire sur ce quel nommera plus tard: L'être...
C'est débile, ça sert à rien d'écrire sur un cahier, mais bon, je dois quand même le faire si je veux pas aller dans un lieu clos, enfermé avec des gens qui font des expériances, qui vous demande si vous allez bien... Tout ce genre de truc, ça m'amuse pas d'écrire, mais bon, au moins ça occupe mon temps libre. En parlant de temps libre, j'en ai beaucoup, je traîne les rues, je sèche, bref, je fou rien de ma vie. Marrant? Non ce n'est pas marrant, car lorsqu'on a un grand frère qui est obligé de diller de la drogue pour subvenir à la famille, que sa mère fait de la prostitution pour qu'on puisse manger. Que mon père travaille la nuit plus le matin et que la plus part du temps il enchaîne 15 heures d'affiler, on se pose des questions... Surtout quand on voit la petite dernière habillait comme une petite princesse, et qu'on a rien à manger... Si, du pain ou des restes souvent immangeable. C'est pour cela que je ne vais pas en cour, je traîne la rue, cherchant un moyen de gagner de l'argent, mais souvent je le dépense pour acheter un petit pain pour le petit dernier, et rien que cela, mes parents font un caca nerveux.
Incroyable non? Aux yeux de mes parents, ils n'existent qu'eux et Li Mei - Ma petite soeur, la peste, appel la comme tu veux- Bref, et si on commençait vraiment à parler de moi? Je me nomme Takana Nihya - si tu ne le sais pas, au Japon, on dit le nom de famille avant - J'ai 17 ans, et celon certains, je suis mal dans ma peau. Ce qui n'est pas le cas, je suis comme je suis point. On dit cela parce que la plus part du temps je réagis avec violence, mais il m'arrive de réagir comme si j'était un ange, ce qui n'est pas le cas... Bien sûr, je sais ce que je suis: Un monstre ambulant qui ne pense qu'à faire mal, enfin, c'est pas trop mon point de vue mais bon... Et si je te disais qu'en réalité je n'étais pas Japonaise, mais Française? Oui, c'est vrai, je suis française, mais je me suis fait adopter. Oui, je l'ai appris l'année dernière, mais je te l'expliquerais plus tard veux-tu? - Tiens, je t'ai trouver un nom: L'être ...-
Bref, revenons à nos moutons, on m'a toujours dis que j'ai une bonne mémoire, c'est surement vrai mais bon. Et si je commençais à t'expliquer tout sur ma vie? Comment je suis devenue ce que je suis? Hum, je crois que c'est une bonne idée tu ne crois pas? Bon, là, j'ai pas trop envie de tout de décrire, donc se sera une prochaine fois... Ah juste avant que je ne te referme, j'ai oublier de te dire quelque chose: J'ai une grave maladie, je ne sais plus quoi exactement, mais d'après ce qu'ai j'ai compris, elle se manifeste par un maux de tête, tremblement de la main, évanouissement... et le coeur qui s'arrête pendant quelques secondes...

[Merkiiii]
[suite de l'histoire]

# Le commencement d'un long journal intime...

Me revoilà, comme promis, il doit être midi, du même jour que la page précédente. Je ne sais pas dans qu'elle situation je suis née, je sais juste que ma mère m'a abandonné, a moins que mon père m'a pris à ma mère et qu'ensuite, ne voulant pas m'assumer, il m'a abandonné, j'en sais rien en fait, c'est débile de dire ça hein.... Je suis arrivée chez les Tanaka quand j'avais 4 ans, ca se trouve, avant j'ai servis lors d'expérience farfelue, non je déconne, je suis un peu trop rêveuse, c'est sur ça, mais passons. Je n'ai aucun souvenir de mon enfance avant mes quatres ans, c'était mon premier noël avec eux, et je n'ai rien eu appart une peste de petite soeur, elle avait 3 ans, mais c'était une vrai emmerdeuse déjà, mais elle m'ennuyer déjà, me cassant les pieds. Alors que mon grand-frère restait dans un coin, malgrès tout, c'était un bon moment, mes parents étaient heureux, ils riaient sans fin.. C'était une joie de vivre avec eux... Mais passons veux-tu?
L'année d'après fut un moment magnifique, pour mon anniversaire, qui avait lieu la vieille de noël, à 23h59 précisement mais passons. J'eut une première peluche: Un petit lapin multicolore, bien que sa tête ressemblait à celle d'une vache mais bon, je suis sûr que c'est Akira qui la fait, il n'a que lui pour faire cela mais passons. Je passais une soirée des plus belles, avoir 5 ans, vivre dans une famille comme cela même si on était pauvre. On était heureux comme on était, mais cela aller changer. Ma mère tomba enceinte, mais il y eut des complications, et elle dût payer cher pour se faire avorter, cela fut l'enfer pour elle, elle pleura longtemps, elle était inconsolable. Et nous on était là, la regardant, on ne savait pas ce qui s'était passé, c'est à ce moment là que le contact fut couper, ils ne nous dire plus rien, on ne passait plus de moment ensemble.
On dût déménager rapidement, et je surpris une conversation des plus inquiétantes, les parents parlaient des problèmes financiers, du fait qu'ils fallaient restreindre les dépenses, manger le minimum, cette année là, ce fut l'enfer, chaque jour nos ventres criaient famines et on devait manger le stricte minimum, alors que les parents mangaient beaucoups plus que nous... Ils nous narguaient avec leurs pattes, et après, on regardaient notre morceau de pain et notre bout de gruyère avec dégoût. Oui, c'était ça la dure vie des pauvres. Mais passons. On vécu comme ça pendant un an, rien que d'y penser, les larmes commençent à me piquer les yeux, quoi que, enfait non. Je ne pleure jamais, et je ne suis pas prête de pleurer. Mon frère et moi, on s'amuser à aller voler la boulangère, et par moment, elle nous donnez des sucreries. C'était assez marrant, mon grand frère et moi, on est devenue inséparable depuis ce moment là.
6 ans, j'avais 6 ans et cette andouille de petite soeur commençait à faire sa craneuse, s'habillant avec des trucs pas pour son âge et j'en passe, et après elle venait se plaindre que les garçons lui disaient tous "je t'aime". Si j'aurais été elle, ils n'auraient plus eu de tête. Oui, violente, bah oui, on dirait pas derrière mes airs de petit ange, mais oui, je suis violente, mais on s'en fiche. A part cela, il n'y a rien de bien interessant, si mon anniversaire, je le fêta avec mon frère et c'est tout. Les parents n'étaient même pas là pour moi, la classe non? On aurait dit qu'ils s'enfoutaient de moi, d'ailleur c'est vrai. Bref, mon frère me fit un dessin que je garde toujours sur moi, oh, c'était juste un gribouillage, mais après tout, c'est un cadeau, et je m'attache facilement à ce qui est sentimental. Ce dessin représentait un coeur avec nous deux dessinaient a côté, il avait même coller une photo...
Passons l'année de mes 7 ans, il ne s'y est rien passé. J'avais donc 8 ans, le bel âge pour les gamineries, mais contraîrement aux autres, je ne m'amusais pas, je restais dans mon coin, comme une solitaire, d'ailleur, je le suis encore... Mais chut... Un garçon de CM2 est venue me voir, avec une fleur, si vous n'avez pas compris, ce jour là c'était la saint Valentin... Bref, il me tendit la fleur, et comme une conne je le regardais avant de lui prendre sa fleur et de l'arracher sous ses yeux, avant de lui tourner le dos et d'aller avec mon frère et ses potes, ce jour là, je brisa pour la première fois un coeur, il était amoureux, d'un amour de petit enfant, et moi je l'ai envoyé balader, ça me fait marrer ça, quand ma soeur fut au courante, elle tenta de m'expliquer ce que ça consister que d'être une fille: se noyez et se faire sauver par un beau jeune homme ou encore dire je t'aime quand l'une des personnes du sexe masculin nous offrait une fleur. Ca me fait bien marrer ça...
9 ans, CM1. La belle vie, en cour? Nada, je connais pas ce mot, enfin si mais bon, pour ce que je faisais... Une petite sieste pendant que le prof' expliquait je ne sais plus quoi, un peu de colle sur la joue de mon voisin quand le prof' avait la tête tourner, un coup dans les côtes quand le prof' interrogait quelqu'un. Bref, un vrai petit démon, je le suis, mais ça, j'arrête pas de te le dire, enfin je crois. Attends, je relis avant. Bon, effectivement, j'arrête pas de le dire, mais au moins je l'avoue... Bref, 9 ans et j'étais une vrai peste, j'assurais quoi. Mais bon, c'était pas l'avis de mes notes ou de mon prof' ni de mes parents d'ailleurs. Mais mon frère me défendait, et il se faisait même frapper sous mes yeux. Et il ne disait rien, des larmes coulaient, mais après à chaque fois, je disait la véritée, et je me faisais frapper à mon tour, mais au moins, j'étais solidaire, et à la fin, mon frère et moi on partait en comparaisant nos bleux... Bizarre, mais à chauqe fois, c'est moi qui gagnez...
10 ans et je deviens un vrai garçon manquez, me mettant à frapper tout le monde pour un rien, juste parce qu'il me parlait ou qu'il me regardait. Pour des broutilles en gros, mais à la fin, c'était marrant, ils m'évitaient tous, évitant de me regarder, de me parler, et moi je riait, comme une débile à propos de cela, j'étais bête, je suis bête et je serais bête. Oui, bon, j'ai modifié, normalement c'est pas ça qu'on dit, normalement c'est: je t'aimais, je t'aime et je t'aimerais... Bon, si tu as un peu de jugeaote, tu comprenderas que c'est cette année là que je suis tombé "n'amoureuse" -comme on disait à cet époque- il s'appelait Cristo. C'était un de ses beaux goss, hyper marrant, attachant, maladroit, sensible, le contraire de moi, mais je n'ai jamais osé l'aborder, dès qu'il me regardait, je regardais ailleur, et même si une rumeur disait qu'il m'aimait, je l'ignorais...
11 ans, plus de Critso, mais une rentrée dans un établissement que je me mis à détester. Je chercha vite les ennuis, me rêvelant ainsi aux gens. Et ils m'évitèrent tous, normal non? Cette année là, je goutta à la ciguarette, j'étais comme un "mouton", j'étais naif et je me mis à fumer. Et mes parents s'en rendirent bien vite compte, ils me frappèrent, m'interdisant de continuer, mais je continuait, et c'est comme ça qu'on se rendit compte de ma maladie. Je passais mon temps à l'hôpital, on me décréta de "faible", et quand je dut retourner dans ce lieu que je haissais, je dût recréer ma réputation, me faisant encore plus violente qu'avant, mais je dois l'avouez, j'avais des moments de faiblesse. Et cela ne le faisait pas: vous tappez quelqu'un et deux secondes plus tard, vous êtes évanouis... J'arrêta de fumer... pendant 1 semaine....
12 ans, oui je fumais toujours, la maladie me tuait lentement, je devais prendre des cachets, mais je les "oublais", je ne les prennais pas, je n'avais pas envie de perdre mon temps avec cela, j'avais autre chose à faire. comme sécher les cours pour traînait avec la bande du coin. A présent, je frappez même des étrangers juste pour une ciguarette ou pour avoir l'heure, c'est bête non? Mais c'est moi: Nihya Takana. Bien vite, on me surnomma Ni', certains rajoutant: la violente. Je me plaisais bien, j'assurais, j'étais bien vu par tous les gens faisant partie d'une bande, bah oui, ils ne voulaient pas avoir à faire à Ni' la violente. Mon frère vivait avec moi, on s'entendait bien, c'était la classe. Bref.
Passons l'année de mes 13 ans, et nous arrivons à l'année où mon petit frère vient nous rejoindre, un ange descendu de ciel, avec ses yeux à croqués, ses joues rebondies, mais cela signifiait aussi une bouche de plus à nourrir... Puis encore un déménagement, nous emménagions dans une ville près de Los Angeles, alors autant vous dire, que ce fut dure de changer de langue d'un coup, mais je m'y habitua vite, bien que je gardais mon petit accent japonais... Bref, j'ai pas envie de te raconter comme j'appris que j'avais été adopter, ni comment mes parents me l'avouèrent je vais te racontaient tout de suite ce qui s'est passé sur cette île j'avais 15 ans...
Un voyage scolaire gratuit, le luxe, je sauta sur l'occasion et nous embarquions sur cette île, mais bien vite, des changements se manifestèrent, et dès que je touchais quelqu'un ou que la rage montait en moi, je faisais souffrir quelqu'un. Pourquoi? Qu'est que c'était? Pas la moindre idée, les autres de ma classe semblaient... changés, comme si ils n'étaient plus les mêmes... Bref, finalement, on réeussit à s'enfuir par un bâteau, ce fut grâce à un certain groupe nommé les Letal Veneno. Nous débarquions à Los Angeles après 3 ans... Qu'elle fut la surprise pour mes parents de me revoir...
Voilà, maintenant tu sais tout, sauf une chose, mais je vais te le dire: Adios ce village pomé, rebonjour LA...

# Comment on change...

Une semaine plus tard, la jeune femme avait rendez-vous avec le psy', elle s'y presenta, un sac sur le dos, lui tendant le cahier, et sans lui parler, elle lui tourna le dos et s'eclypsa, avant qu'elle n'arrive à l'universitée de Los Angeles, laissant seul sa famille.... Sur le cachier, une dernière phrase était marquer: Adieu l'enfer, vive NLV et LA... Traduction? Adieu l'enfer, vive Ni' La violente et Los Angeles....

Style vestimentaire : Son style vestimentaire? Involontairement elle s'habille normelement, bien qu'elle voudrait s'habiller de façon assez sombre, elle arbore souvent un t-shirt transparant avec un jean et des converses, mais il lui arrive de s'habiller totalement à l'oposé, en fait, elle n'a pas de style vestimentaire précis, elle change celon ses envies, ce qui change assez souvent, elle peut très bien s'habiller de façon de façon exentrique, et le jour d'après de façon très classe. Malgrès tout, elle évite de mettre des couleurs flashis, cela ne concorde pas avec son caractère, quoi qu'au fond si.
Goûts : Ses goûts? Ils changent sans arrêt, impossible de savoir ce qu'elle aime ou ce qu'elle aime pas. Un jour elle aime le nutella, le lendemain elle aime la confiture à la fraise, le soir, elle déteste le nutella... Je pourrez vous donnez tant d'exemple... Mais bon, même moi je ne sais pas ce qu'elle aime en ce moment... Mais bon, je vais quand même vous poussez sur un indice: c'est sucré et tout le monde adore cela: Des bonbons, et aussi c'est rouge comme vert ou jaune, c'est un peu rond, c'est bon, c'est une pomme.
Ce qu'il(elle) préfère chez les filles(gars) : Ce qu'elle préfère chez les mec's? Eh bien, en priorité, c'est leur sens de la vie, pour elle, c'est important, ensuite vient leurs yeux, oui c'est important, vu qu'elle aime bien plongez ses yeux dans les yeux d'autruis. Vient ensuite leur sensibilité, mais passons. Maintenant ce qu'elle préfère chez les filles -oui Ni' est une Bi'- Avec les filles, vient d'abord les yeux, la personnalité.


.) That is my power


Pouvoir : Provoquer une vive douleur à l’autre [si un de trop, celui ci sera retirer= par contact] quand la rage est en elle, par la pensée...
Description du pouvoir : Il provoque une vive douleur à l'autre, cela ne peut pas aller jusqu'à la mort, mais il arrive qu'il soit violent, surtout quand Ni' laisse la rage qui est en elle éclatait, dans ce cas, mieux ne vaut pas être là. Elle ne contrôle pas son pouvoir, et il est donc instatable, pouvant s'averrer violent comme innofensif, si il avait été une personne, on aurait dit de lui qu'il est lunatique et instable. Un pouvoir aussi "violent" dans les mains d'une jeune femme, cela est assez bizarre, mais c'est la réalité. Rien de plus à ajouter, à part que je m'aime xD.
Découverte du pouvoir : Alors ce fut très simple, l'un de ses camarades la chercha, et elle laissa éclater la rage, ce qui eut pour effet de povoquer une vive douleur chez lui, et cela se reproduisit fréquemment. Elle sait donc poser des questions, jusqu'à ce qu'elle est découvert que c'était elle la cause, elle a donc commencer à évitez les autres, elle sait mise à évitez de penser, au cas... Bref, elle reste encore dans le doute à cause de ce pouvoir.... Elle ne sait pas tout à fait comment son pouvoir est arrivée, mais elle considère cela comme un cadeau. Vu qu'ainsi elle peut se venger, mais elle peut aussi faire souffrir ses amis.... [flemme de faire plus]


.) Under the dark side :


Pseudo(s) : Ritsuka/ Smartiies Pouf/ Deänious
Star utilisée : Ellen Page
Code : OK

Où as-tu découvert le forum ? Myh
Comment le trouves tu ? Suuuuuuper
Des idées pour l'améliorer ? Mettre un gros je vous aimes sur la page d'acceuil pour attirer les membres xD

Finish.
Bon, pour le reste, je l'ai un peu bacquelé, il faut l'avouer T-T